Plusieurs villes ou villages du Val de Loire possédaient des rues souterraines.
Elles étaient souvent réalisées dans un réseau de carrières et de fontis, fontis qui sont d’anciennes parties de carrières qui se sont effondrées, parfois, il s’agit d’une portion de rue qui a été volontairement taillée dans le rocher. Alternent alors les parties souterraines et les parties extérieures, tout en étant au coeur de la pierre...
Les ruelles souterraines ne sont pas uniquement des lieux de passage : comme les rues d’un village, elles accueillent habitats, dépendances, commerces, et comme les rues, elles font partie du domaine public.
C’est le cas notamment de Souzay-Champigny, où, jadis, certaines accueillaient les commerçants et artisans de la ville (la Rue du Commerce).
Malheureusement, ces ruelles sont aujourd’hui à l’abandon et dans un état de délabrement inquiétant : (risques d’éboulement par endroit, mais surtout en général, risque de chute de “petits blocs”, roche qui noirci,...) la mise en valeur est inexistante...
Elles étaient souvent réalisées dans un réseau de carrières et de fontis, fontis qui sont d’anciennes parties de carrières qui se sont effondrées, parfois, il s’agit d’une portion de rue qui a été volontairement taillée dans le rocher. Alternent alors les parties souterraines et les parties extérieures, tout en étant au coeur de la pierre...
Les ruelles souterraines ne sont pas uniquement des lieux de passage : comme les rues d’un village, elles accueillent habitats, dépendances, commerces, et comme les rues, elles font partie du domaine public.
C’est le cas notamment de Souzay-Champigny, où, jadis, certaines accueillaient les commerçants et artisans de la ville (la Rue du Commerce).
Malheureusement, ces ruelles sont aujourd’hui à l’abandon et dans un état de délabrement inquiétant : (risques d’éboulement par endroit, mais surtout en général, risque de chute de “petits blocs”, roche qui noirci,...) la mise en valeur est inexistante...
Pourtant, il fait bon de flâner dans ces ruelles, de passer sous ces arches, de découvrir ces habitations -et leurs dépendances- organisées dans ces “cours”, et aux entrées de la ruelle qui s’enfonce dans la roche, pour ressortir une vingtaine de mètres plus loin...
