De nombreux passages permettaient aux habitants d’accéder au sommet, au-dessus des habitations.
Il y avait le jardin, la végétation à entretenir qui permettait d’absorber l’eau afin d’ éviter qu’elle s’infiltre dans le rocher (iris...), ou les champs, les vignes, parfois, les accès aux silos ou aux greniers troglodytes (stockage et conservation du grain).
En troglodytisme de plaine (cour creusée), on y accédait naturellement par la courdouère (rampe), qui permettait en sens inverse, d’accéder à la cour.
En troglodytisme de coteau, pour accéder en haut de la falaise (10 à 40 m de hauteur selon le lieu) on aménageait des escaliers (en galerie ou en colimaçon) taillés au coeur de la roche.
Il est très difficile d’y avoir accès, car ceux-ci sont pour la plupart chez des particuliers et ne sont souvent connus que de ces derniers
Il y en a un très bel exemplaire à Parnay chez un particulier, taillé à même la roche.
Un autre à Rochecorbon, ferait une quarantaine de mètres de hauteur !