le monde troglodytique du Val de Loire > prier, méditer > lieux de croyances plus ou moins tolérées...
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On sait qu'au XVIème siècle, les Mousseaux de Dénezé était un hameau de tisserands et de tailleurs de pierre. Le village de Dénezé, situé à 800 mètres a été détruit en 1568 par les reître de l'armée protestante... seule l'église survécu...
Actuellement, l'hypothèse la plus probable est la suivante :
Les habitant des Mousseaux s'organisaient en une communauté qui regroupait catholiques, protestants et quelques juifs. Les tailleurs de pierre étaient vraisemblablement regroupés en une confrérie libertaire (qui passe au dessus de la religion, des races et des opinions politique). En 1539, les confréries de corps de métier sont abolies (Interdits de Villers-Cotterets). Ceci les obligea à rentrer dans la clandestinité, ils se réunissèrent dont en cachette, en souterrain et s'exprimèrent secrètement en sculptant ces figures étranges.
Cet unique exemple d'art contestataire et clandestin n'a pu s'épanouir ainsi que grâce à la complicité du village tout entier...
On sait que le curé de l'époque, Nicolas de la Planche, avait accordé aux tailleurs de pierre une chapelle (chapelle Saint-Nicolas) où étaient célébrés en alternance les cultes catholiques et protestants, un bel exemple en pleine guerres de religions !
Actuellement, l'hypothèse la plus probable est la suivante :
Les habitant des Mousseaux s'organisaient en une communauté qui regroupait catholiques, protestants et quelques juifs. Les tailleurs de pierre étaient vraisemblablement regroupés en une confrérie libertaire (qui passe au dessus de la religion, des races et des opinions politique). En 1539, les confréries de corps de métier sont abolies (Interdits de Villers-Cotterets). Ceci les obligea à rentrer dans la clandestinité, ils se réunissèrent dont en cachette, en souterrain et s'exprimèrent secrètement en sculptant ces figures étranges.
Cet unique exemple d'art contestataire et clandestin n'a pu s'épanouir ainsi que grâce à la complicité du village tout entier...
On sait que le curé de l'époque, Nicolas de la Planche, avait accordé aux tailleurs de pierre une chapelle (chapelle Saint-Nicolas) où étaient célébrés en alternance les cultes catholiques et protestants, un bel exemple en pleine guerres de religions !
