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© 2005-2009 www.troglos.com
Tous droits réservés.
L'ensemble du site ainsi que son contenu (textes, photographies, images, documents, shémas, etc.) sont soumis aux droits d'auteur.
Toute reproduction, représentation, ou diffusion totale ou partielle sont strictement interdites sans autorisation écrite de l'auteur.
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Dispositifs, quelques aménagements
Fontaines
Ces fontaines permettaient d'abreuver les chevaux dans les carrières.
Elles étaient alimentées par des sources souterraines ou par l'infiltration de l'eau de la pluie à travers la roche dont la progression était stoppée par une couche d'argile.
Dans le cas des carrières ré-exploitées en champignonnières, ces fontaines ont été réutilisées par les champignonnistes pour l'arrosage des meules. Ils en ont aussi créé beaucoup d'autres.
Des fontaines beaucoup plus vastes étaient utilisées pour y entreposer les blocs de pierre pour que ceux-ci gardent leur humidité naturelle, qu'ils ne sèchent pas et que le calcin protecteur ne se forme pas, dans l'attente d'être taillés.
En effet, les carriers travaillaient essentiellement pendant la "mauvaise saison", de Novembre à Mars, une fois les travaux des champs et des vignes finis jusqu'aux premières semences. Le reste de l'année est consacré essentiellement aux travaux des vignes et des champs. Les maçons, quant à eux, interrompent leurs travaux l'hiver, principalement les jours de gel (qui endommagerait le mortier pas encore sec).
Les tailleurs de pierre, eux, travaillent toute l'année.
Selon plusieurs sources orales, les blocs équarris pouvaient être disposés en bordure de rivière, dans le même but, malheureusement aucun aménagement n'est venu le confirmer. D'autres sources indiquent que c'était pour faire sécher la pierre.
Fontaines
Ces fontaines permettaient d'abreuver les chevaux dans les carrières.
Elles étaient alimentées par des sources souterraines ou par l'infiltration de l'eau de la pluie à travers la roche dont la progression était stoppée par une couche d'argile.
Dans le cas des carrières ré-exploitées en champignonnières, ces fontaines ont été réutilisées par les champignonnistes pour l'arrosage des meules. Ils en ont aussi créé beaucoup d'autres.
Des fontaines beaucoup plus vastes étaient utilisées pour y entreposer les blocs de pierre pour que ceux-ci gardent leur humidité naturelle, qu'ils ne sèchent pas et que le calcin protecteur ne se forme pas, dans l'attente d'être taillés.
En effet, les carriers travaillaient essentiellement pendant la "mauvaise saison", de Novembre à Mars, une fois les travaux des champs et des vignes finis jusqu'aux premières semences. Le reste de l'année est consacré essentiellement aux travaux des vignes et des champs. Les maçons, quant à eux, interrompent leurs travaux l'hiver, principalement les jours de gel (qui endommagerait le mortier pas encore sec).
Les tailleurs de pierre, eux, travaillent toute l'année.
Selon plusieurs sources orales, les blocs équarris pouvaient être disposés en bordure de rivière, dans le même but, malheureusement aucun aménagement n'est venu le confirmer. D'autres sources indiquent que c'était pour faire sécher la pierre.
Mangeoire située dans un racul à l'entrée d'une petite carrière. Le rebord en pierre, usé, a été remplacé par du bois.
Atelier
Dans certaines entrées de carrières, ont été créés un atelier de réparation pour les outils, entrepôt pour les outils, les lampes.
Chaque lampe avait sa place, fixée au mur ou logée dans une petite niche, afin de savoir à tout moment, qui était dans la carrière. Cela n'est valable que pour certaines exploitations, surtout vers le XIXème siècle, lors de l'industrialisation (relative) et de l'apparition des grandes sociétés.
Ces lieux sont aménagés dans un recul prévu à cet effet.
Ecurie
Il n'est pas rare non plus de remarquer un racul, avec au fond, une mangeoire pour les chevaux, celle-ci est généralement taillée dans la roche. Un petit rebord, parfois usé empêche le foin de tomber par terre. On trouve aussi des traces d'anneaux à proximité pour les attacher.
Dans certaines entrées de carrières, ont été créés un atelier de réparation pour les outils, entrepôt pour les outils, les lampes.
Chaque lampe avait sa place, fixée au mur ou logée dans une petite niche, afin de savoir à tout moment, qui était dans la carrière. Cela n'est valable que pour certaines exploitations, surtout vers le XIXème siècle, lors de l'industrialisation (relative) et de l'apparition des grandes sociétés.
Ces lieux sont aménagés dans un recul prévu à cet effet.
Ecurie
Il n'est pas rare non plus de remarquer un racul, avec au fond, une mangeoire pour les chevaux, celle-ci est généralement taillée dans la roche. Un petit rebord, parfois usé empêche le foin de tomber par terre. On trouve aussi des traces d'anneaux à proximité pour les attacher.
Petite fontaine dans une carrière. Etant donné que la carrière a accueilli la culture de champignons, celle-ci a aussi pu être aménagée par les champignonistes.
Anneaux et mangeoire creusés dans la paroi d'une galerie d'une carrière de Touraine.
